Les villes de papier

Le roman porte sur la vie de la poète Emily Dickinson. Parmi une trentaine d’esquisses, deux ont été retenues.

 

Le jardin d’Emily : Dans cette illustration aux couleurs douces et chaleureuses, des mots fleurissent. Passionnée de botanique, Emily écrit de nombreux poèmes sur les jardins et les fleurs. Une typographie sans empattement et simple, ressemblant à une écriture faite à la main, reflète le côté humain et sa créativité. 

 

La chambre d’Emily : Au fil du temps, sa chambre est devenue sa demeure, l’endroit où elle se sent le mieux et qu’elle ne veut plus quitter, comme la poésie. Elle vit dans ses poèmes. Dans cette illustration, la chambre est plongée dans une ambiance nocturne. On y ressent un sentiment de sérénité, de douceur, de rêve et de solitude. La couleur de fond beige rappelle le papier. Une typographie imposante, mais simple, permet un équilibre avec l’illustration qui est très détaillée.

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Anne-Marie Pelletier